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Notre Agence qui existe sous ma direction depuis prés de 40 ans a toujours su faire preuve d'un grand professionnalisme et privilégié la qualité du service et des conseils.
Aujourd'hui comme hier, nos vingt trois collaborateurs n'ont qu'un seul objectif : vous satisfaire.
Au fil des années SECIC IMMOBILIER a su s'inscrire durablement dans le paysage de l'immobilier dans tout le pays Ajaccien et la Corse du Sud et a développé un service de transactions immobilières et de gestion immobilière très favorablement apprécié de la clientèle. Les clients vendeurs, acheteurs ou loueurs ont toujours trouvé chez nous une écoute attentive et une confidentialité jamais mise en défaut.
Notre Conseil est recherché par un grand nombre de partenaires importants de notre Région
Notre expérience des marchés de l'immobilier et notre savoir faire ont fait de nous le spécialiste N°1 de la vente, de la location et de la gestion immobilière. Parallèlement nous avons développé une véritable expertise en matière de propriétés exceptionnelles, de prestige et « pieds dans l'eau ».
C'est pourquoi nous avons fait notre ce dicton d'un sage chinois :
« Celui qui a vécu sait, il gardera son enthousiasme car il aidera l'autre a éviter les pièges que la vie lui réserve »

 


 

 

 

Pierre Paul CARETTE
Directeur général
Maître en droit privé
Expert immobilier près la Cour d'Appel de BASTIA

 

 

SECIC IMMOBILIER, présent sur le marché d'Ajaccio et sa région, vous apportera le meilleur service que vous êtes en droit d'attendre, à Savoir:

  • Deux agences SECIC AJACCIO et SECIC RIVE SUD.
  • Plus de 20 collaborateurs régulièrement formés et spécialisés dans chaque domaine de l'immobilier.
  • Notre collaboration directe au réseau AMEPI avec 12 agences.
  • Vitrines équipées d'écrans LCD.
  • Nos sites internet : SECIC.FR, CORSE-IMMOBILIER.COM
  • Nos supports publicitaires: FNAIM.FR, SELOGER.FR, PAGES JAUNES .FR,
  • La presse: Du local à l'international (CORSE MATIN, CORSE IMMOBILIER, PROPRIETES DE FRANCE) et notre nouveau magazine SECIC.FR édité à 32 000 exemplaires.
  • Notre logiciel de transactions et notre alerte mail.
  • Enfin notre expérience et notre bonne connaissance du marché.

 

ACTUALITES

Conjoncture de la FNAIM : « Une envolée des prix spectaculaire »

« L’effet Covid » continue de dynamiser le marché immobilier, mais dans une moindre mesure. D’après la FNAIM, l’érosion du nombre de ventes a continué au cours du premier semestre 2022. Le marché reste toutefois dynamique et les niveaux de transactions élevés. Les prix des biens continuent, quant à eux, d’augmenter. La période estivale pourrait toutefois marquer un tournant.

photo : Rising prices for real estate

Des ventes moins nombreuses dans l’ancien

L’année 2022 marquera-t-elle la fin du boom immobilier ? « L’heure est au ralentissement », concède Jean-Marc Torrollion, président de la FNAIM, à l’occasion d’une conférence de presse qui s’est déroulée ce mercredi 29 juin. Fin mars 2022, on comptait 1175 000 ventes réalisées dans l’ancien sur les 12 derniers mois glissants. C’est légèrement moins qu’en août 2021, qui enregistrait 1211 000 ventes. L’érosion du nombre de ventes entamée ces derniers mois semble donc se poursuivre au 1er semestre 2022. Une tendance corroborée par un nouvel indicateur : celui du nombre de compromis de vente signés par les agences de la FNAIM, « en baisse de 3 % sur les cinq premiers mois de l’année 2022 et de 6 % en un an, sur le seul mois de mai », indique-t-il. Un recul qui devrait directement répercuter le volume de ventes à partir de cet été. La FNAIM anticipe une baisse de l’ordre de 8 à 10 % au cours du second semestre, donc un retour aux niveaux enregistrés en 2019.

Bientôt moins d’acquéreurs que de vendeurs ?

Une enquête menée par l’IFOP pour la FNAIM laisse entrevoir une baisse de la demande du côté des acquéreurs, donc un ralentissement de l’activité immobilière. Seuls 30 % des potentiels acheteurs estiment que la période actuelle est propice à l’acquisition d’un bien, contre 58 % à la même époque en 2021. « Le niveau le plus bas enregistré depuis 10 ans », indique Jean-Marc Torrollion. Ce sont les primo-accédants qui sont les plus impactés par la conjoncture. 44 % d’entre eux envisagent de devenir propriétaires pour la première fois, soit 25 points de moins qu’en juin 2021. Sans surprise, l’augmentation de l’inflation, au plus haut depuis 1985, devrait impacter les projets immobiliers des Français. D’après l’IFOP, 68 % des sondés ayant un projet d’achat ou de vente craignent que l’inflation ne vienne le retarder. Pour 18 % d’entre eux, cette dernière pourrait même annuler leur projet. Sans compter l’augmentation des taux de crédits, qui pourrait également refroidir certains acquéreurs.

Le cap des 3000 euros par m2 dépassé

Malgré l’inflation, les prix continuent leur envolée « de manière spectaculaire », selon Jean-Marc Torrollion. À l’échelle nationale, ces derniers atteignent même, pour la première fois, la barre des 3000 euros au m2. Exactement 3020 euros/m2, en date du 1er juin 2022. Soit une augmentation de 7,7 % par rapport à juin 2021. Les prix des appartements et des maisons ont respectivement progressé de 5,2 % et de 9,7 %. Les villes moyennes continuent de se démarquer sur le marché. « Leur prix augmentent presque deux fois plus vite que ceux des grandes villes, notamment dans l’Ouest », explique le président de la FNAIM. Là où les prix des 10 plus grandes villes de province croissent de 4,5 % sur un an, ceux des villes moyennes grimpent en effet de 8 %. À l’inverse, certaines métropoles jusqu’ici privilégiées par les cadres, qui sont devenus adeptes du télétravail, marquent le pas : Paris, Bordeaux, Lyon, Lille…

Vers un fléchissement des prix ?

Le fléchissement de la dynamique des prix est perceptible depuis deux mois. L’indicateur qui le montre, c’est l’évolution mensuelle des prix des logements, qui était de 0,3 % en mai 2022 contre 0,9 % en mars 2022. « Ce fléchissement des prix s’explique par le fait que les acquéreurs sont désormais plus attentifs qu’il y a un an. Ils sont nombreux à penser que les prix vont continuer à progresser », constate-t-il. La FNAIM table, pour le second semestre de l’année, sur une augmentation des prix inférieure aux 7,5 % observés en 2021, voire inférieure à l’inflation. Pas question, pour autant, de parler de « bulle immobilière ». « La hausse des prix est bien plus raisonnable que dans d’autres pays depuis la pandémie, le niveau d’épargne des ménages demeure élevé, les crédits à taux variables ne représentent que 2 % de l’ensemble, l’offre demeure faible, à l’instar des taux d’intérêt », conclut-il.

JOURNAL DE L'AGENCE

 

Passoires thermiques et nouveau DPE : le bilan après 1 an

Une année après son lancement, le groupe EX’IM, spécialiste du diagnostic et du contrôle en France, dresse le bilan de près de 30 000 diagnostics réalisés depuis le 1er juillet 2021 au sein de son réseau. Etat des lieux.

photo : Energie sparen - Heizung

Le réseau EX’IM a ainsi mené une étude sur 28 909 DPE transmis à l’Ademe. L’ensemble de ces DPE ont été réalisés par 22 agences au sein de son réseau, réparties en France, selon la nouvelle formule entrée en vigueur au 1er juillet 2021. « 1 an que le nouveau DPE a vu le jour, et après plusieurs mois de réajustements, nous pouvons dire aujourd’hui qu’il est rôdé », annonce Yannick Ainouche, PDG d’EX’IM. 

Selon ce dernier, cinq leçons sont aujourd’hui à tirer du nouveau DPE :

1. Un logement sur six ne pourra pas augmenter son loyer dès août 2022

Selon la loi Climat et résilience, le propriétaire doit justifier d’une classe énergétique E au minimum, s’il souhaite augmenter son loyer à partir d’août. Or d’après l’étude réalisée par EX’IM, 16 % des logements locatifs sont aujourd’hui classés en F et G.

2. Seuls 1 % des logements déclarés non décents dès 2023

Tout logement avec une consommation supérieure à 450 kWh.an.m² est considéré comme une passoire énergétique et ne pourra plus être loué dès 2023. Selon EX’IM, ces logements extrêmement énergivores restent marginaux et pèsent à peine 1 %, soit un peu plus de 100 000 logements à l’échelle du parc locatif français.

3. 6,5 % des logements devront être rénovés avant 2025

Sur les 28 909 DPE réalisés par EX’IM, plus de 8 % des logements sont aujourd’hui classés en G. Si tous ne sont pas forcément destinés à la location, force est de constater que pour les DPE réalisés dans un contexte purement locatif, 6,5 % des logements seront interdits à la location au 1er janvier 2025.

4. 16 % des logements seront interdits d’ici 2028

Dès 2028, il sera interdit de louer un logement classé en F. Selon l’étude d’EX’IM, un logement sur dix est aujourd’hui concerné sur le marché locatif.

5. Seuls 3 % des logements sont en conformité avec la Loi Climat et résilience

Alors que la France a pour ambition d’atteindre un parc immobilier BBC (Bâtiment Basse Consommation) pour 2050, les étiquettes A et B qui correspondent souvent à des biens construits après 2012, restent encore extrêmement marginales aujourd’hui, avec moins de 3,5 % du parc.

JOURNAL DE L'AGENCE